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    PASCAL GODART

    pianiste

"Outre les Préludes, j’ai été frappé par sa lecture de la Sonate de Dutilleux, qui égale au moins une de mes préférées, celle de Pascal Godart”

Thierry Vagne

 

Dutilleux, sonate pour piano - Pascal Godart

I - Sonne peut-être plus moderne. très vivant et caractérisé.

II - Une version très personnelle, toucher magnifique, sonnant et chaud à la fois.

Thierry Vagne

 

"Quant au final, avec un génie comme Beethoven, ce fut bien sur un moment de bonheur. L'orchestre Pasdeloup, dirigé de main de maître par Benoît Girault et Pascal Godart, ont traduit la tonalité franche de ce concerto pour piano (Beethoven N°1) devenu éblouissant sous le doigté d'un pianiste expressif. "

La Nouvelle République

 

"De ces quatre prestations, on retiendra surtout celle(s) de l'inspiré Pascal Godart…

Le premier commence sa Ballade n°2 en fa majeur op. 38 sur un ton simple et sans chichi, presque enfantin. Son jeu n'est pas sans esprit, mais montre peu, laisse deviner. On est tout de suite séduit par la respiration à la fois apaisée et animée qu'il insuffle à la rythmique, une respiration qui efface, même dans les contrastes brutaux, même dans la véhémence, toute trace de pathos. Et, si sa virtuosité peut sembler occasionnellement par trop brillante, elle témoigne d'une maîtrise technique, d'un équilibre et d'un bon goût certains.

Toutes ces qualités se retrouveront et s'épanouiront avec bonheur dans la Ballade n°1 en sol mineur opus 23, une partition ô combien jouée, rejouée, sur-jouée et saucissonnée, dont Pascal Godart gère le suspense, par avance éventé, avec une maestria soufflante. Sans négliger outre mesure le parfum facile de romantisme un peu gluant, qui est partie intégrante de notre imaginaire collectif chopinien aujourd'hui, il sait aussi faire preuve de retenue et bousculer nos habitudes au moyen de belles nuances et de touchers excessivement contrastés - avec parfois sous les doigts un poids âpre qui peut faire penser à Richter."

Jérémie Szpirglas, Anaclase.com

 

"Le moment le plus saisissant de cette première semaine de festival est indubitablement le concert du 24 juillet au soir, avec en ouverture de programme une Sonate pour violon et piano n°2 de Brahms éblouissante. L'air de rien, tant le jeu coule avec naturel, les doigts volant sur le manche de l'instrument, l'archet précis et aérien, Latica Honda-Rosenberg magnifie la sensualité, la tendresse, la nostalgie de cette admirable partition. Et comme le pianiste Pascal Godart chante avec [sa] partenaire, saisissant l'auditeur dès la première et sublime phrase de l'introduction pour ne plus le lâcher jusqu'à l'ultime accord."

Bruno Serrou, ResMusica

 

"il nous livre par ailleurs l'interprétation de référence de la Sonate pour piano. "

Pierre Jean Tribot, Resmusica, (CD Dutilleux 'Clef' ResMusica)

 

"La tendresse et l'enthousiasme conquérant de Pascal Godart"

François Laurent, Diapason (CD Dutilleux, 5 Diapasons)

 

"Pascal Godart y est éblouissant, et sa virtuosité perlée toute empreinte de fascination sonore offre à la sonate un impact saisissant. Ses amis, tous solistes de l’Orchestre de Paris, interprètent parfaitement les Pages de Jeunesse. "

Bruno Peeters, Crescendo (10), (CD Dutilleux)

 

"Tatiana Vassilieva et Pascal Godart en un Britten de référence : rien à jeter. "

Jacques Duffourg, Concertonet

 

"Nous retrouvons avec plaisir Marc Trenel et son excellent pianiste... Ludique, jubilatoire, aussi bien que lyrique et grave, devant le clavier stravinskien de Godart, le basson fagottisé joue et gagne sur tous les plans. Nos deux artistes ont tout bon."

Jean Cabourg, Diapason (CD Trenel-Godart, 5 Diapasons)

 

“Balance of cello and piano is natural and realistic, the piano accompaniment lively and sensitive. Pascal Godart relishes his more dominant role in the Franck Sonata, and, like his partner, places stress on precision and clarity without denying the work's passionate nature”

Duncan Druce, Gramophone.net (CD Franck)

 

"La soirée s'achevait avec la seconde Sonate pour violoncelle et piano, en fa majeur Op.99, que Johannes Brahms terminait à Vienne en 1886. Le pianiste Pascal Godart y faisait montre d'une délicatesse extraordinaire, soignant un son volontairement feutré, en parfaite adéquation avec la lecture pudique et toute intériorité de Raphaël Chrétien qui, dans l'Adagio affettuoso, osait des pianissimi inouïs, aux confins du silence. Ce deuxième mouvement, avec des pizz très prononcés, presque violent, fut traversé d'une grâce qui laissa le public pantois. Bien que plus enlevé, le troisième héritait, dans une cohérence toujours tenue, de la gravité du précédent, plus inquiet que d'habitude. Mais il ne sert à rien de tenter de dire l'indicible : gardant ses mystère, l'interprétation de ce soir ne se laissera pas disséquer par des mots, et pourrait bien nous faire douter de la mission du critique !... Pas de véritable optimisme ou sérénité dans l'arrivée du thème plus aérien de l'Allegro final : la couleur générale reste énigmatique jusque dans les derniers traits qui se gardent bien, si brillants qu'ils soient, de tout triomphalisme. Un très grand moment de musique que cette sonate de Brahms aux Arcs. "

Bertrand Bolognesi

 

"..c'est avec le 3ème concerto en ré mineur de Rachmaninov interprété par Pascal Godart que la soirée a atteint son sommet. Le jeu de Pascal Godart, son engagement dans l'abord de cette partition exigeante sur le plan de la technique et de la musicalité ont enflammé l'orchestre pendant les quelque quarante minutes de l'exécution.

Admirable dialogue entre l'instrument roi et les musiciens, sous la direction d'un chef à l'écoute des moindres détails, dont la précision a permis au soliste d'exprimer toute son énergie dans l'allegro non tanto initial. La poésie et l'intimisme de l'intermezzo central, dont la force intériorisée a suscité l'émotion, ont donné l'opportunité à Pascal Godart de démontrer la finesse et l'élégance de son discours. Quant à l'alla breve final, il fut éblouissant. Un véritable feu d'artifice dans lequel Pascal Godart, avec la liberté que lui confère sa maîtrise du clavier, s'est livré complètement.

En dépassant la difficulté technique pour aller vers l'essentiel dans un déferlement musical et rythmique absolu, dominant ces immenses vagues musicales qui terminent le concerto.

...Talent rare."

Antibes-Juan les Pins, Philippe Depétris